« En quoi le cinéma contemporain français est-il héritier de son passé ? »

La section des régions Chugoku-Shikoku de la Société Japonaise de Langue et Littérature Françaises (SJLLF) et le département de littérature française de l’Université d’Hiroshima organisent une conférence tous publics en ligne sur le cinéma français.


Titre de la conférence :
« En quoi le cinéma contemporain français est-il héritier de son passé ? »
Conférencier :
Stéphane du Mesnildot

Date : lundi 30 novembre, à partir de 18h00
Langue : français (avec traduction consécutive en japonais)
Nombre maximum de participants : 290
Lieu : en ligne (Zoom)
Tarif : gratuit
(les éventuels frais de connexion à internet sont à la charge du participant)


Le lien de la conférence vous sera envoyé à l’adresse mail que vous aurez préalablement renseignée sur le formulaire d’inscription.
Les inscriptions seront closes le vendredi 27 novembre 2020 (ou lorsque le nombre maximal de participants sera atteint).

→  Inscriptions via Google forms ici.  ←

Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez écrire à l’adresse suivante : mnb*at*hiroshima-u.ac.jp 
(Remplacez *at* par @)

En quoi le cinéma contemporain français est-il héritier de son passé ?

Le cinéma français a été marqué par des courants tels que le réalisme poétique des années 30 (Carné, Grémillon), la Nouvelle vague des années 60, les cinéastes populaires (René Clément, Claude Sautet, George Lautner) et les films d’auteur des années 70 et 80 (Maurice Pialat, Claire Denis). Peut-on distinguer dans le cinéma contemporain une continuité ou une rupture avec ces grandes périodes ? Quels nouveaux territoires explorent les nouveaux cinéastes français ? Nous aborderons pour cela des cinéastes apparus dans les années 1990 et 2000 tels que Yann Gonzalez (Un couteau dans le cœur), Justine Triet (Sibyl), Bertrand Mandico (Les Garçons sauvages), Jacques Audiard (Un Prophète), Emmanuel Mouret (Mademoiselle de Joncquières), Bruno Dumont (Jeannette) ou François Ozon (Eté 85).

Stéphane du Mesnildot

Né en 1969. Vit et travaille à Paris. Ancien critique aux Cahiers du Cinéma et enseignant d’histoire du cinéma et d’analyse du film. Auteur des ouvrages Fantômes du cinéma Japonais, Histoire du cinéma des vampires, Memories of Murders, l’Enquête. Co-commissaire de l’exposition Enfers et fantômes d’Asie au Musée du Quai Branly-Jacques Chirac à Paris en 2018.

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Concours d’éloquence 2019

Yuka Eitani, étudiante en deuxième année en littérature française, a décroché la deuxième place au 31ème Concours d’éloquence du Kyushu pour les débutants avec une présentation sur le Shodo (la calligraphie japonaise), qui s’est tenu à l’Institut Français du Kyushu.

Fumika Hayashi, étudiante en troisième année en littérature française, a terminé première lors du 1er Concours national universitaire d’exposé en Français, qui s’est tenu à l’Université des langues étrangères de Kyoto.

Plus d’informations sur le site de l’Université d’Hiroshima (en japonais):

Concours  d’éloquence du Kyushu :

https://www.hiroshima-u.ac.jp/bungaku/news/51993

https://www.hiroshima-u.ac.jp/news/52035

Concours national d’exposé (Kyoto) :

https://www.hiroshima-u.ac.jp/bungaku/news/54459

https://www.hiroshima-u.ac.jp/news/54450

Études de Langue et Littérature Françaises de l’Université de Hiroshima n°38 (2019)

Le dernier numéro de la revue a été publié. L’intégralité du numéro est en ligne sur la plateforme d’archive ouverte de l’Université d’Hiroshima : Études de Langue et Littérature Françaises de l’Université de Hiroshima n°38

Table des matières :

  • Le texte français de Roland Barthes et sa traduction japonaise (Masahiro NAKAGAWA) : p. 1
  • Deux autodidactes, Léon de ROSNY et MURAKAMI Hidetoshi – leur influence sur l’enseignement du japonais et celui du français (YasueIKAZAKI) : p. 28
  • Information et récit : le cas de la «Chronique locale» du Sémaphore de Marseille dans la première moitié des années 1860 (Akiko MIYAGAWA) : p. 42
  • Nouvelles des membres de l’équipe (教室短信) : p. 55.