Cérémonie de remise des diplômes 2020

Cette année, à cause de la crise du nouveau coronavirus, la journée de présentation des mémoires de fin d’année s’est déroulée en ligne, et le dîner a été annulé.

 

Les mémoires de licence soutenus cette année sont les suivants :

La « femme fatale » dans Manon d’Henri-Georges Clouzot (Hisako Muramoto)
La fonction du syntagme nominal en UN dans la phrase générique (Kaori Ueno)
La prostituée dans La Dame aux camélias (Fumika Hayashi)
Les enfants dans Mondo et autres histoires de Le Clézio (Yumi Ishida)
La Belle et la Bête (2017) : étude comparée entre le film et l’œuvre originale et analyse musicale de la représentation du genre (Ayumi Okamoto)

La cérémonie de remise des diplômes a eu lieu le 23 mars, comme tous les ans, dans le strict respect des mesures sanitaires.

Félicitations à toutes !

« Traduire le manga en français »

Le département de littérature française de l’Université d’Hiroshima organise une conférence tous publics en ligne sur la traduction des mangas en français.

Titre de la conférence :
« Traduire le manga en français »
Conférencier :
Léopold Dahan

Date : mardi 19 janvier, à partir de 18h00
Langue : japonais sans traduction
Nombre maximum de participants : 290
Lieu : en ligne (Zoom)
Tarif : gratuit
(les éventuels frais de connexion à internet sont à la charge du participant)

Le lien de la conférence vous sera envoyé à l’adresse mail que vous aurez préalablement renseignée sur le formulaire d’inscription.
Les inscriptions seront closes le dimanche 17 janvier 2021 (ou lorsque le nombre maximal de participants sera atteint).

→  Inscriptions via Google forms ici.  ←

Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez écrire à l’adresse suivante : mnb*at*hiroshima-u.ac.jp 
(Remplacez *at* par @)

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« La mode française et le Japon »

Le département de littérature française de l’Université d’Hiroshima organise une conférence tous publics en ligne sur l’influence du Japon dans la mode française.

Titre de la conférence :
« La mode française et le Japon »
Conférencier :
Clémentine Sandner

Date : lundi 28 juin, à partir de 18h00
Langue : français (avec traduction consécutive en japonais)
Nombre maximum de participants : 290
Lieu : en ligne (Zoom)
Tarif : gratuit
(les éventuels frais de connexion à internet sont à la charge du participant)

Le lien de la conférence vous sera envoyé à l’adresse mail que vous aurez préalablement renseignée sur le formulaire d’inscription.
Les inscriptions seront closes le dimanche 27 juin 2021 (ou lorsque le nombre maximal de participants sera atteint).

→  Inscriptions via Google forms ici.  ←

Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez écrire à l’adresse suivante : mnb*at*hiroshima-u.ac.jp 
(Remplacez *at* par @)

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« En quoi le cinéma contemporain français est-il héritier de son passé ? »

La section des régions Chugoku-Shikoku de la Société Japonaise de Langue et Littérature Françaises (SJLLF) et le département de littérature française de l’Université d’Hiroshima organisent une conférence tous publics en ligne sur le cinéma français.


Titre de la conférence :
« En quoi le cinéma contemporain français est-il héritier de son passé ? »
Conférencier :
Stéphane du Mesnildot

Date : lundi 30 novembre, à partir de 18h00
Langue : français (avec traduction consécutive en japonais)
Nombre maximum de participants : 290
Lieu : en ligne (Zoom)
Tarif : gratuit
(les éventuels frais de connexion à internet sont à la charge du participant)


Le lien de la conférence vous sera envoyé à l’adresse mail que vous aurez préalablement renseignée sur le formulaire d’inscription.
Les inscriptions seront closes le vendredi 27 novembre 2020 (ou lorsque le nombre maximal de participants sera atteint).

→  Inscriptions via Google forms ici.  ←

Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez écrire à l’adresse suivante : mnb*at*hiroshima-u.ac.jp 
(Remplacez *at* par @)

En quoi le cinéma contemporain français est-il héritier de son passé ?

Le cinéma français a été marqué par des courants tels que le réalisme poétique des années 30 (Carné, Grémillon), la Nouvelle vague des années 60, les cinéastes populaires (René Clément, Claude Sautet, George Lautner) et les films d’auteur des années 70 et 80 (Maurice Pialat, Claire Denis). Peut-on distinguer dans le cinéma contemporain une continuité ou une rupture avec ces grandes périodes ? Quels nouveaux territoires explorent les nouveaux cinéastes français ? Nous aborderons pour cela des cinéastes apparus dans les années 1990 et 2000 tels que Yann Gonzalez (Un couteau dans le cœur), Justine Triet (Sibyl), Bertrand Mandico (Les Garçons sauvages), Jacques Audiard (Un Prophète), Emmanuel Mouret (Mademoiselle de Joncquières), Bruno Dumont (Jeannette) ou François Ozon (Eté 85).

Stéphane du Mesnildot

Né en 1969. Vit et travaille à Paris. Ancien critique aux Cahiers du Cinéma et enseignant d’histoire du cinéma et d’analyse du film. Auteur des ouvrages Fantômes du cinéma Japonais, Histoire du cinéma des vampires, Memories of Murders, l’Enquête. Co-commissaire de l’exposition Enfers et fantômes d’Asie au Musée du Quai Branly-Jacques Chirac à Paris en 2018.

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